Comme chaque année en été le temps pour bloguer se raréfie comme l’eau sous le soleil de plomb.

Mais non ! Ça n’est pas ta faute mon petit chat. Et je ne manque ni d’inspiration, ni d’envie, ni même de bonne volonté.
Mais tu comprendras que l’acte gratuit du dessin et du billet d’humeur est tributaire du temps et de l’énergie qui déborde et c’est aussi le premier poste qui saute en temps de crise.

Crise
Si, appelons crise, cette succession de mercredis où il faudra nourrir plein de petites bouches, honorer les commandes d’illustrations, déménager, faire des travaux, faire sécher les petits maillots de bain et faire le plein de grillades et de mojitos pour les soirs de fête, s’impliquer dans des psychothérapies féminines de groupe où des sujets cruciaux seront abordés (épilation, fidélité, beauté des cheveux, sexe, baby-sitting, condition de travail de la femme, bref un boulot titanesque)

Donc, on dit crise parce ça dramatise un peu, les belles, bonnes et douces vacances que je vais passer et celles que je vous souhaite.

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